((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajoute des informations générales aux paragraphes 4 et 8; la réponse de Nvidia au paragraphe 5 et des détails du rapport aux paragraphes 6 et 7)
Nvidia prévoit d'investir des centaines de milliards de dollars dans les puces et l'électronique fabriqués aux États-Unis au cours des quatre prochaines années, a rapporté mercredi le Financial Times, citant le directeur général Jensen Huang.
Selon le rapport, le géant des puces d'intelligence artificielle prévoit de dépenser environ un demi-billion de dollars en électronique au cours de cette période de quatre ans.
« Je pense que nous pouvons facilement nous imaginer en fabriquer plusieurs centaines de milliards ici aux États-Unis », a déclaré Huang au FT, ajoutant que l'administration Trump pourrait contribuer à accélérer l'expansion de l'industrie américaine de l'IA.
Huang s'est efforcé d'apaiser les inquiétudes des investisseurs concernant la demande pour les puces IA coûteuses de Nvidia, qui ont fait de l'entreprise l'une des plus précieuses au monde, après que l'entreprise chinoise DeepSeek a lancé un chatbot concurrent avec apparemment moins de puces IA.
Nvidia a refusé de commenter le rapport du FT.
Huang a déclaré que Nvidia peut désormais fabriquer ses derniers systèmes aux États-Unis par l'intermédiaire de fournisseurs tels que les géants taïwanais de la fabrication de puces TSMC 2330.TW et Foxconn 2317.TW , tout en notant une menace concurrentielle croissante de la part de l'entreprise de télécommunications chinoise Huawei, selon le rapport.
« Les investissements de TSMC aux États-Unis permettent d'améliorer considérablement la résilience de notre chaîne d'approvisionnement », a déclaré M. Huang.
Plus tôt dans la journée, M. Huang a déclaré aux analystes lors de la conférence des développeurs de l'entreprise , en Californie, que les commandes de 3,6 millions de puces Blackwell passées par quatre grandes entreprises de cloud computing sous-estimaient la demande globale, car elles excluaient Meta Platforms META.O , les petits fournisseurs de cloud computing et les start-ups.
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